
Délégation du SIE en visite au CAAS
Le 18 novembre 2025, une importante délégation du Salon International de l’Entrepreneuriat – AES 2025 a visité le campus du CAAS. La mission venue de Bamako était composée d’environ 65
Le CAAS forme les femmes à l’agriculture durable et soutient des projets d’infrastructure qui renforcent la région environnante.
Le CAAS est un centre de formation et de production agricole situé dans le sud du Mali. Il forme les femmes à l’agriculture durable et favorise le développement des communautés rurales dans la région du Mandé.
En plus d’un cours de base de six mois accueillant environ 60 à 80 stagiaires à la fois, le centre propose des formations continues pour les coopératives féminines et soutient des projets contribuant au développement du village et de la région – notamment l’accès à l’eau potable et à l’énergie solaire, les jardins communautaires gérés de manière coopérative, ainsi que la construction d’écoles.








Le 18 novembre 2025, une importante délégation du Salon International de l’Entrepreneuriat – AES 2025 a visité le campus du CAAS. La mission venue de Bamako était composée d’environ 65

Bonne nouvelle du CAAS : malgré la situation difficile, 85 jeunes femmes ont pu commencer leur formation au CAAS. Au début, en raison de la situation politique et de la

Avec près de deux semaines de retard, le nouveau cours de formation de base a pu débuter au CAAS. Quarante des quelque 150 candidates présélectionnées ont pour l’instant pu commencer
« J’ai sept planches dans le jardin communautaire de Dissoumana. Grâce aux récoltes, je contribue à la nourriture de ma famille. Je produis suffisamment pour pouvoir aussi en vendre. J’en suis très satisfaite. »
Rokia Doumbia
« Je m’appelle Mariam Bah. J’ai 24 ans et je fais partie de la première promotion du CAAS. À la fin de la formation, nous avons demandé au directeur de nous aider à obtenir un jardin pour la culture des légumes. Aujourd’hui, nos mères l’utilisent aussi. Ma mère et moi avons dix planches de culture ensemble. La récolte d’oignons de l’année dernière a été si bonne que nous avons encore des réserves. Le jardin aide toutes les femmes du village. J’aide les femmes plus âgées à préparer les planches, car je sais comment faire. Les compétences que j’ai acquises au centre me sont très utiles. Je vends aussi du jus de gingembre, du bissap et du lait caillé faits maison au marché. »
Nous serions heureux de votre soutien pour la création de nouveaux jardins communautaires. Chaque contribution compte !